1- Stratégie :
Bien présenter votre brouillon comme suit :
2- Résultats
3- Interprétation des résultats
On voit que chez le laurier, la feuille a une structure orientée : vers la face supérieure, le parenchyme chlorophyllien est palissadique et constitué de cellules alignées très serrées avec de nombreux chloroplastes alors que vers la face inférieure, le parenchyme chlorophyllien est lacuneux avec des cellules parfois très espacées. De plus, les stomates sont présents uniquement sur la face inférieure et sont absents de la face supérieure.
Or je sais que les feuilles de laurier ont un port horizontal : l’épiderme supérieur est très exposé à la lumière contrairement à l’épiderme inférieur plus ombragé.
Les documents complémentaires montrent que le lys, ayant des feuilles à port vertical dont les épidermes abaxiaux et adaxiaux reçoivent autant de lumière, possèdent un parenchyme non orienté et non différentié ressemblant au parenchyme lacuneux. De plus, les stomates sont répartis de la même façon sur les deux faces.
Donc j’en déduis que les feuilles de laurier ont une structure qui permet grâce, au parenchyme palissadique de la face supérieur très éclairée, de capter plus de lumière pour la photosynthèse. De plus cette face est dépourvue de stomates et recouverte d’une cuticule épaisse imperméable qui permet d’éviter l’évaporation et le dessèchement de la plante. Les stomates sont majoritairement sur la face inférieure peu éclairée car ils sont protégés du soleil, ce qui limite l’évaporation tout en maintenant les échanges gazeux nécessaires à la photosynthèse.